Manger local (1), c’est choisir notre menu sans oublier de penser à l’endroit où nous nous trouvons, aux personnes qui nous entourent, aux saisons...
Local :
- Manger local, manger ce qui est produit sur place, dans la région, le canton, l’agglomération et, le cas échéant, trouver, proposer une alternative : le vinaigre de cidre peut remplacer très souvent le jus de citron...
Abordable :
- C’est se donner la possibilité d’acheter de bons aliments, le moins transformés possible, sans se ruiner.
- C’est clairement proposer, présenter des alternatives à la bouffe des grandes surfaces : faire une barre de fruits coûte environ 6€00 le Kg contre 9€00 pour celle au glucose et 19€00 celle dont il faut payer la publicité.
Simplicité :
- Choisir de se préparer à manger le plus souvent possible, d’éviter les aliments sur-emballés et sur transformés.
- Choisir de conserver toute l’année des fruits et des légumes pour maîtriser son alimentation et son budget.
- Aborder l’alimentation comme un moyen de satisfaction personnelle et non pas comme un « process » identique à conduire ou écrire un jouèb.
Objectifs :
Ce que cette action n’est pas :
- un catalogue de recettes, il y a de très bons livres de cuisine chez le libraire.
- une leçon de morale sur la vie.
- un régime alimentaire.
- un promesse de bonheur.
Ce que cette action est :
- le témoignage que changer son regard est possible.
Engagements pour l’année :
- Rendre compte de la façon de faire les provisions (boutique, prix, moyens...)
- Proposer des idées pour manger, semaine après semaines, sans oublier de donner quelques recettes.
Note :
1/ « Manger local » est la traduction choisie pour le terme anglo saxon « eat local challenge », la suppression de la notion de « challenge » a été faite car c’est d’un engagement personnelle dont il s’agit ici, pas d’une compétition avec un adversaire à écraser.
Ce billet est une traduction du billet en occitan (limousin) disponible par un clic sur l'image.